FF: Sara : Elle (complète)

Auteur : Steph (flygirlstephjag@yahoo.com)

Disclaimers : ils ne m’appartiennent pas. Ils appartiennent à leurs créateurs, je ne fait que les emprunter comme toujours, mais un jour j’inventerai mes propres personnages comme cela je ne devrai plus jamais les emprunter à personne !

Genre : Romance, tristesse.

Couple : Simon/Sara (quoi d’autre ? Je vous le demande)

Classification : T (+13 comme toujours : pour avoir une planche de salut, n’est-ce pas ?)

Sommaire : lisez… et vous verrez.

Note de l’auteur : tout d’abord, je tiens à m’excuser auprès de tous ceux qui me lisent, je ne vous ai pas oublié mais je ne pouvais plus écrire une seule ligne et cela me rendait dingue. Mais apparemment, mes muses sont revenues ce matin, enfin ! Elles commençaient vraiment à me manquer.

Petite explications supplémentaire, pour vous donner le contexte et donner un petit mot d’explication : l’histoire se déroule après que Simon et Sara ont fait l’amour dans l’appartement de Lieven, le meilleur ami de Simon. Elle lui a raconté un secret lourd et humiliant sur sa première fois. Elle ne l’a jamais confié à personne. Ensuite Simon lui a écrit une carte dans laquelle il lui dit que ce qu’elle lui a dit les a rapprochés… pendant ce temps, Lieven, lui renvoie les clés de son appartement car il se dit qu’ils en auront plus l’usage que lui, vu que ce dernier se trouve à Lille. Lieven l’explique à Simon et aussi qu’il lui a envoyé des instructions sur comment garder Sara de son côté. Grave erreur. Surtout que Simon n’en a absolument pas besoin. Oui, Simon s’est rendu compte qu’il est tombé amoureux d’elle. Seulement, Sara lit la lettre accompagnée des instructions et elle s’effondre, elle décide d’éviter Simon. Ce qu’elle ignore c’est que Simon e eu Lieven au téléphone et qu’il a confié à ce dernier qu’il ressentait quelque chose pour elle. Et de son côté, Simon ignore que Sara a lu la missive de Lieven.

*~~**~~*

Simon Van Wijck, PDG de Présence, une des plus grosses boîtes de mode d’Anvers était assis à son bureau l’air absent. Ces derniers temps, il avait l’impression qu’il perdait complètement le contrôle de son existence. Le Casanova qu’il était n’existait plus. A présent une seule femme hantait ses pensées à tout moment du jour et de la nuit.

Dire que toute cette histoire avait commencé comme un jeu – un jeu idiot et débile pour l’intérêt de la boîte. Lieven avait vite compris que Sara De Roose était amoureuse de Simon et avait suggéré à ce dernier d’utiliser cela à leur avantage en faisant croire à Sara que Simon l’aimait lui aussi.

Seulement aujourd’hui, les choses étaient différentes, Simon ne fait plus semblant, il ressent vraiment quelque chose pour elle, de très fort même, mais pourtant, elle semblait se détacher de lui sans qu’il ne comprenne pourquoi et cela commençait tout doucement à le rendre dingue.

Un jour tout va bien, et le lendemain il avait à faire à un iceberg aussi grand que celui qui était responsable du naufrage du Titanic.

Pourquoi ? Que s’était-il passé entre le moment où il l’avait prise dans ses bras et qu’ils s’étaient presque embrassés avant d’être interrompus par Helena qui avait ouvert la porte de son bureau et maintenant ? Pourquoi était-elle devenue si distante ?

Simon ne se l’expliquait pas du tout. Il voulait comprendre… il voulait retrouver sa Sara. Sa Sara qu’il avait serrée dans ses bras et à qui il avait fait l’amour dans l’appartement de son meilleur ami. Il voulait la retrouver elle.

Jamais il n’avait ressenti pareille chose pour quelqu’un. Il ne s’était jamais senti aussi bien avec quelqu’un avant. Jamais.

Et maintenant, elle était distante, et il avait froid. Il se sentait vide. Il n’avait jamais ressenti encore une telle sensation de vide, il se sentait incomplet comme si quelque chose lui manquait.

Simon avait les traits tirés, il n’arrêtait pas de penser à elle. Il fallait qu’il sache, le reste n’avait pour le moment aucune importance. « Présence » pouvait se passer de lui quelques heures ; quant à Helena, et bien, elle n’aurait qu’à se passer de lui pour le moment ou peut-être pour toujours. De toute manière elle ne lui faisait pas confiance et ne lui en avait jamais accordé aucune même lorsque leur relation n’en était qu’à ses débuts.

Elle était toujours en train de lui téléphoner pour savoir où il était.

Simon posa ses deux mains sur son bureau et se poussa en arrière. Il fallait qu’il la voit ou il allait devenir fou.

Il se leva attrapa son GSM, prit sa veste accrochée à la patère près de la porte et sortit de son bureau sans prêter la moindre attention à Britt qui le regardait d’un drôle d’air mais c’était comme si elle l’avait jamais regardé différemment.

Elle avait beau être la meilleure amie de sa fiancée, il ne l’aimait pas du tout. Britt n’était même pas fichue de recopier un texte dans un programme Word alors, pour le reste, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle fasse quelque chose de convenable.

En plus elle était encore une nouvelle fois en train de se limer les ongles.

Il n’y avait décidément pas plus superficielle que cette femme. Pensa Simon alors qu’il pénétrait dans l’ascenseur.

Simon prit son GSM dans le fond de la poche de sa veste et composa le numéro de Sara, mais elle ne décrocha pas. Cette fois, Simon en était certain.

Toujours aussi têtue… jura-t-il.

Il n’y avait que deux endroits où Sara pouvait se trouver : chez elle ou au « Chocolat ».

Simon opta pour la deuxième solution. Le plus souvent quand les choses n’allaient pas, Sara allait chez son ami, Arne. Ce qui ne lui plaisait pas trop, Simon ne l’aimait pas, il en ignorait la raison outre le fait peut-être qu’il était le meilleur ami de Sara mais quelque chose le gênait chez lui.

En se dirigeant vers sa voiture, Simon Van Wijck se demandait comment il allait convaincre Sara de bien vouloir lui parler, vu qu’en ce moment ce n’était pas ce qu’elle faisait : elle ne le regardait même plus lorsqu’elle lui répondait sur un ton froid qui lui glaçait les sangs.

Comment pouvait-il arranger les choses s’il ignorait quel était le problème ? En ne se parlant pas, les choses ne s’arrangeraient pas. Mais il ne pouvait pas non plus la forcer à faire quelque chose qu’elle ne voulait pas.

Il ne l’avait jamais fait et ne commencerait pas aujourd’hui mais si cela restait comme cela entre eux, tout risquait de s’écrouler comme un château de cartes. Ni Simon ni Sara n’en avaient cependant encore conscience.

Tout ce que Simon savait, c’est qu’il voulait une réponse.

Comme il l’avait pensé, son assistante se trouvait effectivement au « Chocolat » et comme il s’y attendait aussi, Arne n’était pas loin. Simon se mordit la lèvre inférieure. Une prise de bec avec Arne n’était pas vraiment ce dont il avait besoin.

Simon prit une grande inspiration et se dirigea vers le café-bar. Lorsqu’il entra Arne le regarda comme un ennemi et il semblait prêt à donner l’assaut.

Il fit cependant mine de ne pas le voir, ses yeux parcouraient le café-bar à la recherche de Sara. Il l’a vi assise dans un coin sombre.

Il était sur le point d’avancer vers elle mais Arne se plaça devant lui.

« Mon vieux, ce n’est pas le moment, je veux juste lui parler, c’est tout. »

« Je suis pas certain que ce soit une excellente idée, M. Van Wijck. Sara est arrivée ici en pleurs et quelque chose me dit que vous n’y êtes pas étranger. »

Simon s’approcha un peu plus près d’Arne en le regardant de haut.

« Si c’est moi le responsable, je voudrais bien en connaître les raisons. Seulement, je ne peux rien faire si mon assistante ne parle pas et se conduit en glaçon. »

Arne ne lui répondit pas, il était légèrement déstabilisé. Les yeux de Simon reflétaient une émotion sur laquelle Arne n’arrivait à mettre de nom. Sara lui avait parlé de la lettre et du fait qu’il la manipule depuis le début. Pourtant, en regardant, Simon il n’était plus très certain que Sara lui ait vraiment tout raconté.

Arne se retira sans rien dire pour laisser passer Simon.

S’asseyant face à Sara, Simon voulut prendre sa main mais elle la retira presque instantanément.

« Sara, s’il te plait, dis-moi ce qu’il y a. Dis-moi ce que j’ai fait mais ne me laisse pas comme ça. Je pense avoir le droit de savoir pourquoi tu m’évites comme ça. »

« Comme si tu l’ignorais ? »

Il la regarda dans les yeux. « Oui, Sara, je l’ignore, je ne sais pas ce que j’ai fait pour que tu ne me parles plus. »

« Et bien alors laisse-moi te rafraîchir la mémoire. « Instructions pour garder Sara de ton côté. »

Simon ferma les yeux. Il eu soudain l’impression que le ciel venait de lui tomber sur la tête. Elle avait lu la lettre de Lieven qu’il avait glissé entre le reste du courrier, il pensait l’avoir retirée à temps et l’avoir enfermée dans son tiroir avant qu’elle ne puisse poser les yeux dessus mais apparemment il s’était trompé.

Ouvrant lentement les yeux, il regarda le visage de la jeune femme en face de lui. Lorsque ses yeux accrochèrent les siens, il put y lire à quel point le fait de lire cette maudite lettre l’avait blessée. Comment avait-il pu être aussi stupide ? Il aurait dû se débarrasser de cette missive immédiatement.

Il lui avait promis de ne jamais la blessere et qu’avait-il fait ? Pas étonnant qu’elle ne voulait plus lui parler.

Simon Van Wijck, tu n’es vraiment qu’un imbécile. Se maudit-il.

Il se mordit la lèvre inférieure et le bout de sa langue sortit. Une mimique qu’il faisait sans s’en rendre compte mais que Sara vit et, comme toujours lorsqu’il faisait ça, son cœur fondit mais elle ne dit rien. Elle espérait simplement que ses yeux ne la trahiraient pas. Mais trop tard, Simon l’avait vu. Il l’avait vu au moment précis où le soleil avait commencé à faire fondre la glace qui s’était emparée de son cœur.

« Pourquoi ? »

« Pourquoi quoi ? » lui demanda-t-il en ayant toutes les peines du monde à retenir le sourire qui essayait d’apparaître sur ses lèvres.

« Pourquoi faut-il toujours que tu fasses ça ? »

« Fasse quoi ? »

« Ca ! » Lui répondit-elle en imitant sa mimique à la perfection.

« Je fais ça moi ? J’en sais rien, je ne m’en rends pas compte. »

« Simon… » Murmura-t-elle.

Pourquoi son prénom roulait-il encore si facilement dans sa bouche ? Même après le coup de poignard que cette lettre lui avait assené ?

Simon sentit son cœur se briser en un million de morceaux lorsqu’il vit des larmes briller dans les yeux de la jeune femme.

« Pourquoi joues-tu avec mes sentiments comme ça ? Comment as-tu pu ? » Elle se tourna alors vers son meilleur ami, je sais que c’est toi qui garde le bar et que tu n’es pas sensé fermer, mais est-ce que… »

Arne fit un signe de la tête. « De toute manière, je comptais aller prendre un peu l’air mais si tu as besoin de quoi que ce soit, tu appelles, ok ? »

« T’en fais pas. Merci. »

Arne prit ses affaires et sortit en retournant le panneau fixé sur la porte qui affichait maintenant ‘FERME’

Sara tourna à nouveau son attention vers celui qui l’avait fait tant souffrir mais rendue tellement heureuse tant qu’elle ignorait tout.

« Je t’ai tout donné. mon cœur, mon âme, mon corps, Simon. Je t’ai tout donné sans me retenir ! Je t’ai même révélé mon plus lourd secret. Personne ne le sait sauf toi, mon père ne le connaît même pas ! Et toi tu fais quoi ? Tu me poignardes ! »

« Sara… je… »

« C’est exactement pour ça que je m’étais jurée de ne plus JAMAIS tomber amoureuse. Toutes les personnes que j’aime me font souffrir. Quand j’étais petite, aucun enfant ne voulait jouer avec moi. Ensuite ce fut à l’université. Je n’avais pas d’amie, de plus je me suis faite humilier… » La voix de Sara se brisa.

Il voulut lui prendre la main mais Sara la retira immédiatement. Elle le fixa de ses yeux humides de larmes dans lesquels il y avait un tas de questions auxquelles lui seul avait la réponse.

Un silence lourd de questions et de regrets s’était installé entre eux.

Simon ferma les yeux une nouvelle fois avant de prendre une profonde inspiration et de les ouvrir à nouveau.

« Sara… » Commença-t-il doucement. « Je sais que tu ne me croiras pas mais je t’aime. »

« Tu m’aimes ? Excuse-moi si j’en doute. Comment puis-je te croire ? Comment veux-tu que je croie un seul mot qui sort de ta bouche, Simon, si tu sais comment faire, dis-le moi. »

Simon ne dit rien et se leva et pour faire les deux pas nécessaires pour se retrouver à côté d’elle. Il ne la toucha pas, il s’accroupit simplement.

Elle baissa les yeux et détourna légèrement la tête pour ne pas le voir. Simon tendit le bras et positionna son index près de son menton, appliqua une petite pression pour qu’elle tourne la tête vers lui, ce qu’elle fit mais elle garda les yeux baissés.

« Sara, je t’en supplie, regarde-moi. » Lui demanda-t-il d’une voix brisée.

Au son de la voix de Simon elle leva les yeux et ce qu’elle vit lui brisa le cœur en un million de morceaux. Son patron, son Simon avait les yeux brillants de larmes. Sara était forcée de faire une chose qu’elle n’avait plus faite depuis longtemps : le regarder dans les yeux. Elle ne pouvait les éviter à présent.

Ses yeux reflétaient se qu’elle refusait de croire depuis cet horrible jour où elle avait trouvé ce papier rempli d’instructions. Sara était à présent incapable de détourner ses yeux des siens, comme si une force invisible l’empêchait de tourner la tête pour regarder ailleurs.

« Sara… » Murmura-t-il d’une voix rauque, brisée par l’émotion.

Simon Van Wijck lui prit la main et cette fois, Sara ne la retira pas. Il avait besoin de la toucher pour se convaincre qu’elle était bien là, que toutes ces choses s’étaient bien produites entre eux, que tout n’était pas perdu. Qu’il le veuille ou non, qu’il soit ou non prêt à l’admettre, il avait besoin d’elle. Il avait besoin d’elle dans tous les sens du terme : plus seulement comme assistante personnelle.

Simon avait besoin de Sara De Roose comme il avait besoin d’oxygène pour respirer. C’était une sensation nouvelle pour lui, il n’avait jamais eu besoin de personne, pour être honnête le fait qu’il sorte avec Helena ne signifiait rien pour lui, il commençait à penser qu’ils étaient ensemble plus pour plaire aux autres et pour faire ce que les autres et ses parents attendaient de lui que parce qu’il l’aimait. L’aimer ? Non, il ne l’aimait pas, enfin si mais pas d’un amour inconditionnel comme il le devrait. Non, ce qu’il ressentait pour Helena de Lanoy, sa fiancée, commençait étrangement à ressembler à ce qu’un frère ressentirait pour sa sœur.

Tandis que ce qu’il ressentait pour Sara…

Il n’avait jamais rien ressenti de pareil pour aucune personne, aucune femme auparavant. Jamais car l’amour était pour lui un sentiment complètement inconnu jusqu’alors.

Jamais Simon Van Wijck n’aurait pensé connaître ce sentiment un jour, et encore moins que ce soit une personne comme Sara De Roose qui le lui fasse ressentir. Pourtant, il ne pouvait plus nier l’évidence. Simon était bel et bien amoureux de Sara.

« Sara, je t’aime… Je sais que tu ne me crois pas, pourtant c’est vrai, je t’aime. » Une larme roulait le long de sa joue alors qu’il prononçait les plus beaux mots que la terre ait jamais portés.

De nouvelles larmes coulaient le long des joues de Sara. Sara lui serra un peu plus la main et les yeux de Simon glissèrent sur leurs mains jointes pendant quelques secondes avant qu’il ne les reporte sur elle.

« Cette lettre ne compte pas, Sara, je sais bien que ce qu’elle contient t’a fait mal et j’en suis désolé. Tu n’aurais jamais dû la lire, j’aurais dû la brûler. Je ne peux malheureusement pas revenir en arrière et crois-moi, je le ferais si je le pouvais… »

La lueur dans les yeux de la jeune femme lui fit immédiatement quelque chose, « Non, je ne reculerais pas jusqu’à Lille, Sara, je ne regrette absolument pas ce qui s’est passé entre nous là-bas, c’est même le contraire. Je t’aime et rien ne pourra changer ça, tu m’entends ? »

Les larmes continuaient à couler le long des joues de Sara.

« Sara, le mur de glace que tu as placé entre nous me tue. J’étouffe sans toi, lorsque tu es loin de moi, j’ai froid. Je ne peux plus avancer sans toi... personne n’a jamais eu un tel effet sur moi. Personne. Aucune femme. Sara, je t’en supplie, dis-moi ce que je dois faire pour t’en convaincre. » Lui demanda-t-il les yeux implorants.

Sara ne répondit pas, elle le scruta quelques instants, puis se pencha en avant et caressa les lèvres de Simon avec les siennes. Le baiser ne mit pas longtemps à s’approfondir. Elle glissa les bras autour de son cou tandis qu’il mettait ses bras autour de sa taille.

Simon se leva doucement sans détacher ses lèvres de celles de la jeune femme qui, entraînée, se leva elle aussi. Une fois complètement debout, il la serra encore plus fort contre lui alors qu’il explorait doucement, langoureusement la bouche de son assistante avec sa langue. En réponse, Sara gémit.

Ils se séparèrent quelques instants plus tard, à bout de souffle.

« Prouve-le-moi, Simon. Prouve-moi que tu m’aimes. Fais-moi l’amour. » Lui dit-elle d’une voix rauque.

Simon la regarda incrédule, surpris par sa demande plutôt osée mais d’un autre côté, Sara obtenait toujours ce qu’elle voulait.

Un sourire apparut dans ses yeux toujours humides d’émotions. « Comme vous voulez, Mademoiselle De Roose. »

Il se pencha pour l’embrasser à nouveau mais Sara recula là tête. « Pas ici, dans un endroit où on sera seuls, pas de GSM, rien. Personne ne sera où on est. Personne, juste toi et moi… Jure-le moi, Simon.»

« Je te le jure, Sara. Je t’aime. » Lui souffla-t-il se penchant pour capturer une nouvelle fois ses lèvres, cette fois elle répondit immédiatement à son baiser.

Le baiser ne mit pas longtemps à s’approfondir. Comme souvent lorsque ces deux-là s’embrassaient. Ni l’un ni l’autre ne comprenait ce qui leur arrivait mais ils s’en fichaient. Simon n’avait pas besoin de comprendre, tout ce qu’il savait c’était que sa vie était auprès de Sara et personne d’autre.

Ces parents ne seraient pas ravis, ni Helena, mais ils n’auraient qu’à s’en accommoder car il ne changerait pas d’avis.

Le baiser prit fin par un grand besoin d’air. Sara appuya son front contre celui de Simon et murmura « Je t’aime, Simon. Je t’aime tellement. Mais tes parents et Helena ? »

« Sara, ne t’en fais pas pour ça. Ce qui compte c’est toi et moi et le fait que je t’aime. Le reste ne compte pas et si cela ne leur plaît pas et bien tant pis. »

« Mais, Simon, ce sont tes parents et je sais ce que Présence représente énormément pour toi… »

« Oui, c’est vrai mais à mes yeux, tu comptes encore plus… »

« Mais… » Protesta-t-elle.

« Sssh, » souffla Simon doucement en posant son indexe droit sur les lèvres de la jeune femme.

Il lui sourit simplement. Pour la première fois, il se sentait bien comme si une énorme pression venait de tomber de ses épaules. Simon Van Wijck savait que les choses ne seraient pas simples à présent car ses parents ne le laisseraient pas faire sans protester mais il ne se laisserait pas manipuler cette fois. Elle, Sara De Roose, était la femme qu’il aimait et qu’il aimerait toujours.

Tant qu’ils étaient ensemble, peut importe ce que l’avenir leur réservait. Peu importait les embûches que la vie placerait sur leurs chemins ensemble, ils pouvaient tout affronter…

FIN

Pour le moment… mais restez à l’écoute.

Addict Nombre de messages : 23548 Age : 80 Date d'inscription : 15/12/2007

Bravo pour le coup de coeur

Merci, je ne m'attendais pas à ce quelqu'un la lise en fait, l'histoire est basée sur la télénovela "Sara" qui ne passe qu'en belgique, elle est un peu faite sur le même principe que "Le destin de Lisa" mais en mieux.

Merci d'avoir prit le temps de la lire, Jacqueline I love you

Tu vois, que tu as eu des lectures tu as eu la mienne, en plus.

Je l'ai lue car justement je ne connais pas cette série, et qu'en france, on ne l'a verra peut-être jamais.

Les acteurs sont inconnus pour moi. Les personnages inconnus.

Et ta fic est vraiment très belle. Tu as la faculté de montrer les sentiments des personnages.

Après je suis mal placée pour dire si tu es dans le juste ou pas, car je ne regarde pas. Pour moi, cela n'est pas une fic, mais une nouvelle.

Bravo Miss.

WOW, Dine, tu vas me faire pleurer, là quel compliment! Merci un million de fois! FF: Sara : Elle (complète) Invisi44

Addict Nombre de messages : 23548 Age : 80 Date d'inscription : 15/12/2007

Je partage l'avis de Didine sur la fic

» FF: Sara -- Impossible (complète)
» FF: Sara -- Mieux vaut mourir (complète)
» Créations Sara... par Stephjag
» NY 911 -- FF: Douleur (complète)
» Sans Toi (complète)